Code de popularité en déclin
Facebook a toujours maintenu son rang en tant que le plus large des réseaux sociaux. Les derniers scandales sur la confidentialité de ses utilisateurs continuent de faire décliner son code de popularité. Ainsi, la publication récente de ses gains obtenus au cours du second trimestre de cette année prouve le ralentissement de sa croissance. Une telle chose ne s’était jamais produite auparavant.

La croissance trimestrielle de Facebook
Facebook détient plus de 2 milliards d’utilisateurs par mois et plus d’un milliard tous les jours. La croissance trimestrielle n’était pas aussi mal avec une croissance de 42% des revenus publicitaires par année et de 11% des utilisateurs actifs quotidiens et mensuels. Mais cela reste le plus bas depuis 2011. En outre, selon Recode, Facebook a cessé de croître entièrement aux États-Unis et au Canada, qui sont ses marchés les plus rentables.
La cause des profits en baisse
Avant que le scandale de Cambridge Analytica ne se produise en Mars 2018, Mark Zuckerberg, PDG de Facebook avait dit que la lutte contre les atteintes à la vie privée de la part des gouvernements étrangers par le biais d'informations erronées et de fausses informations entraînerait une baisse des bénéfices de l'entreprise. En outre, il n’est pas évident que la mauvaise performance de la société au cours du trimestre résulte des mesures de sécurité qu’elle a prises pour lutter contre les abus des gouvernements étrangers.
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Selon Facebook, le fait de donner plus de contrôle sur la confidentialité aux utilisateurs affecterait ses revenus publicitaires, car cela se traduirait par des publicités moins ciblées et moins efficaces, ce qui est de même pour le placement des annonces.
Facebook ne montre aucun signe d’impact négatif

Le premier trimestre de cette année, jusqu’au mois d’Avril, tout allait pour le mieux pour l’entreprise car elle était en mesure de récupérer ses utilisateurs américains comme au quatrième trimestre de 2017. Cela a été possible en effectuant un ajustement du flux de nouvelles qui a déhiérarchisé le contenu de la page et les nouvelles. Par conséquent, cela signifie qu’avant ce trimestre, Facebook n'a jamais été affecté négativement par ses changements dans les actualités, les scandales de confidentialité, la présence de Mark Zuckerberg au tribunal ou la surveillance de discours de haine et de fausses nouvelles sur sa plateforme.
Cependant, les chiffres présents disent le contraire. Selon David Wehner, directeur financier de Facebook, cette récente instabilité de la croissance des utilisateurs continuerait d’augmenter et elle pourrait augmenter jusqu’à un point en pourcentage au troisième et quatrième trimestre de cette année.
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