Twitter bloque 143 000 applications ayant violé les règles de l’entreprise
Selon les plaintes effectuées, Twitter a récemment violé plus de 143000 apps sur sa plate-forme.
L'interdiction a été un moment contre les applications qui ont violé les règles API de Twitter entre Avril et Juin.
Suivi de l’interdiction, l’entreprise a dit « nous ne voulons pas que nos API soient utilisées pour manipuler des conversations, créer des fichiers indésirables ou porter attente à la confidentialité des utilisateurs de Twitter ».
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Twitter a toujours des instructions sur la tenue d'un grand nombre de bots qui ont souvent influencé les opinions publiques et les discussions.
Ces bots sont souvent contrôlés en utilisant les applications de l'API Twitter pour automatiser leur fonction, à savoir, les abonnements, les likes et tweets.
Twitter bloque les applications qui enfreignent sa politique d'API alors que Facebook fait l'objet d'une enquête gouvernementale sur la collection pour l'utilisation des données des utilisateurs pour le scandale de Cambridge Analytica pour ingérence électorale.
Twitter fait de son mieux pour éviter d'être interrogé par les autorités, et toute action judiciaire suivante, en particulier étant donné que le site est célèbre comme un pot de dissension, de fausses nouvelles et de harcèlement.
Twitter met en place des changements significatifs pour ses interfaces de programmation applicatives
Non seulement Twitter met fin à 143 000 applications, mais la plate-forme de micro-blogging analyse le problème au plus profond et considère comment le changement d'API dans sa plate-forme fonctionnerait.
L’entreprise a également mentionné que « à partir d’aujourd’hui, de nouvelles demandes sont requises pour accéder au Premium de Twitter et aux règles des API via un nouveau processus d’approbation individuelle ».
Ce processus oblige les développeurs d'applications basées sur l'API Twitter à demander un accès individuel à la plate-forme. Les développeurs doivent fournir plus de détails sur eux-mêmes. Twitter dit que cela aidera à prévenir l'enregistrement des applications de spam et de mauvaise qualité.
Twitter indique également que tous les comptes de développeurs existants seront progressivement invités à fournir plus de détails sur les titulaires de compte. Ceux qui échouent verront leurs applications coupées de l'API officielle.
Les Développeurs limités à dix applications Twitter, nouvelles limites de débit API
En outre, les développeurs ne seront pas permis de créer et de gérer plus de dix applications. Si les développeurs doivent exécuter plus de 10, cependant ils auront à demander une permission spéciale émanant de Twitter et fournir une excellente raison de le faire.
Les développeurs qui pensent pouvoir changer de manière sournoise la façon dont leurs applications utilisent l'API Twitter seront également invités à fournir des informations supplémentaires sur les nouvelles fonctionnalités de l'application, même après avoir été « approuvés ».
À compter du 10 septembre 2018, de nouvelles limites de tarification de l'API seront également mises en place pour chaque application Twitter. Twitter indique que ces nouvelles limites de taux « aideront à réduire la capacité des mauvais acteurs à créer du spam sur Twitter via [leurs] APIs ». Les nouvelles limites de taux entrant en vigueur seront (par application) :
Les limites peuvent être supprimées pour des raisons valables pour les applications qui nécessitent plus d'accès aux données de Twitter pour des raisons légitimes.
Enfin, Twitter a également modifié sa page d'assistance de l'API Twitter pour inclure une option permettant de signaler les « mauvaises applications » qui enfreignent l'une de ses nombreuses règles.
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L’entreprise a également lancé son portail de développeur cette semaine disponible sur developer.twitter.com.
C'est la deuxième étape de la répression de Twitter sur les utilisateurs se conduisant mal et le contenu moche. Plus tôt ce mois-ci, il a également annoncé qu'il interdisait plus de 70 millions de comptes d'utilisateurs en mai et en juin, dont la plupart étaient considérés comme des bots ou des faux.
